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Corpet-Louvet 1909 – n° 1234 Poids : 16 tonnes, Puissance : 300 CV
Wagons couverts du MOB
Autorail X 232 Decauville 1938
Autorail X 232 Decauville 1938 - Yunan Réseau Breton
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L’association du Musée des Tramways à Vapeur et des chemins de fer Secondaires français rassemble de nombreux amateurs des chemins de fer secondaires de France. Elle est entièrement gérée et animée par des bénévoles. Les travaux de restauration sont réalisés soit par l’association soit commandé à des artisans ou sociétés.
L’association est dirigée actuellement par un Conseil d’Administration de 9 membres élus pour 3 ans renouvelables par tiers.
Vous pouvez adhérer à notre association soit pour nous soutenir dans notre action, soit pour nous aider dans nos travaux. Dans le chemin de fer, on retrouve tous les corps de métier: mécanicien, menuisier, terrassier, peintre, commercial, secrétariat, accueil des visiteurs, etc.
La ligne, longue de 21 km desservait treize gares ou arrêts: Valmondois, Le Carrouge, La Naze, Verville, Nesles La Vallée, Labbeville Frouville, Brécourt, Vallangougard, Epiais Rhus Theuville, Berval, Grisy les Plâtres, Bréancon Grisy, Marines.
1875 : premier projet pour la ligne Valmondois-Méru, en longeant la vallée du Sausseron, refusé par le Préfet de Seine & Oise.
19 avril 1883 : la Société générale des chemins de fer économiques reçoit la concession pour l’ouverture d’une ligne à voie métrique pour la ligne Valmondois-Epiais Rhus, mise en service le 14 juin 1886, avec 3 locomotives à vapeur et 3 voitures à voyageurs.
1893 : au vue de l’augmentation du trafic, une quatrième voiture est livrée.
17 janvier 1911 : ouverture de la prolongation de la ligne Valmondois-Marines, jusqu’à Chars.
La transformation de la ligne à voie métrique Valmondois-Marines, en ligne à voie normale fut étudiée, sans suite.
1930 : la concurrence de l’automobile fait baisser la fréquentation de la ligne.
1947 : la fréquentation de la ligne par les voyageurs diminue toujours un peu plus, et le trafic marchandise disparaît.
1er juillet 1949 : suppression définitive de tout trafic sur la ligne Valmondois-Marines.
1951 : démantèlement de l’ensemble du matériel et des installations.
Musée des tramways à vapeur et des chemins de fer secondaires français
